Actualités du groupe AsFam
Contributions sur des thèmes relatifs à l'AsFam

Un coup du sort a complètement changé la vie de Barbara Peter. Depuis l'attaque cérébrale de son mari, cette Zurichoise a quitté son travail de bureau. Depuis, elle s'occupe de son mari et, grâce à une solution de soins à domicile, elle gagne aussi de l'argent pour cela.
L'interview de Radiofr portait sur AsFam AG, une entreprise active dans le domaine des soins et de l'aide à domicile. Dans l'interview, le directeur Kenny Kunz d'AsFam AG a été interrogé et a donné un aperçu intéressant des projets et des objectifs actuels de l'entreprise. Ils ont également parlé des défis qu'ils ont rencontrés au fil du temps et de la manière dont ils les ont surmontés. Dans l'ensemble, ce fut une interview intéressante et informative, qui a donné un aperçu de la manière dont AsFam AG travaille et de son succès.
Depuis 15 ans, Vittoria Rambone s'occupe de son mari Crescenzo 24 heures sur 24. Depuis l'année dernière, le couple de Beringen bénéficie pour la première fois d'un soulagement. C'est l'entreprise AsFam qui rend cela possible. La famille Rambone et Ruedi Kunz, directeur et fondateur d'AsFam, expliquent comment tout cela fonctionne.
Les proches aidants occupent une position clé dans la prise en charge des personnes vivant à domicile et nécessitant des soins très importants. L'AsFam soutient les proches aidants en les engageant par le biais de contrats de travail et en leur versant un salaire approprié et des cotisations de sécurité sociale pour la durée des soins qu'ils fournissent.
Assistance aux proches Barbara Peter s'occupe de son mari et est payée pour cela par Spitex. Son travail est ainsi juridiquement encadré de manière formelle. Ce nouveau modèle d'activité professionnelle rencontre de plus en plus de succès.
À 40 ans, et donc au milieu de sa vie, Crescenzo Rambone de Beringen reçoit un diagnostic dévastateur : la sclérose en plaques (SEP) - une maladie auto-immune, chronique et inflammatoire du système nerveux central.
Les proches aidants pourraient être payés 33,50 francs de l'heure pour leur travail. La toute jeune entreprise AsFam (Assistance pour familles avec proches aidants) qui propose ce genre de prestations vient de recevoir son autorisation d'exercer de la part de l'Etat du Valais. Alors que 30'000 personnes pourraient être concernées sur le territoire cantonal, la démarche intrigue.
Ils, souvent elles, soutiennent le système de santé à bout de bras. En Suisse, quelque 300'000 proches aidants (estimation de 2012) assistent un parent, un enfant, un voisin, un ami - une réalité de vie souvent éprouvante et peu reconnue. Asfam, une entreprise fraîchement débarquée en Suisse romande, propose de les rétribuer, 33,50 francs de l'heure, pour des soins de base : aide à la douche, à l'alimentation, à l'habillement...
Soins à domicile" "Quelque part, je suis l'employée de ma fille Loane", plaisante Sandra Unternehmen. Elle n'a pas tout à fait tort. Cette mère est en effet employée et employée par AsFam, pour le soutien des familles avec aidants, s'occupe de Loane.
"Des organisations comme AsFam devraient exister partout", estime Margrit Gull. Elle est ravie de la possibilité offerte aux proches soignants de se faire engager et d'être ainsi rémunérés pour leur travail. "Tant de patients concernés se sentent ainsi mieux, ainsi que les personnes dont ils s'occupent". Depuis plus de quatre ans, Margrit Gull s'occupe de son mari. Depuis un an, elle reçoit un salaire pour cela en tant qu'employée de l'AsFam. On a d'abord demandé à Peter Gull s'il voulait bien embaucher sa femme, se souvient-il. Et il a naturellement dit oui, sans avoir à réfléchir. "Je ne veux tout de même pas être une charge pour ma femme".
Proches aidants Eliane Rusch s'occupe de son mari depuis des années. Depuis juillet, elle est rémunérée pour une partie de son travail par l'Asfam, une association privée de soins à domicile qui emploie des proches soignants.
Aider un être cher à se lever le matin, à s'habiller, à se laver, à manger, à aller aux toilettes... Autant de soins qui reposent sur les aidants familiaux. Les entreprises AsFam proposent de les rémunérer pour ce travail en les engageant.
Les proches qui soignent leurs proches à domicile ne reçoivent généralement pas d'argent pour cela. Une entreprise zurichoise a commencé à changer cela il y a un an. Elle emploie des proches aidants et leur verse un salaire. A l'occasion de la "Journée des proches aidants", TELE TOP a rencontré une mère qui reçoit ainsi un salaire pour s'occuper de son fils de 30 ans.
Dans le cadre d'un projet d'évaluation, Spitex Zurich Limmat a examiné différentes variantes permettant à SZL de répondre au besoin d'une meilleure reconnaissance financière des proches aidants.
"C'est vraiment injuste, ce n'est pas possible. Elle est assurée, paie des primes, se fait rembarrer par la caisse maladie, le canton et les communes et, en plus, est discriminée en tant que femme. C'est un cumul d'injustices". Le professeur Hardy Landolt, docteur en droit, est très clair lorsqu'il évoque la situation des proches aidants. Concrètement, celle d'Edith Selina Tanner de Glaris, qui s'occupe de son fils Samuel depuis 20 ans.
Environ 300 000 Suisses s'occupent de membres de leur famille - la plupart du temps gratuitement. Une entreprise zurichoise veut changer cela et engage des proches pour les payer pour le travail de soins.
Agrément de Spitex ASFAM GmbH pour la fourniture de prestations dans le domaine de l'aide et des soins à domicile dans le canton de SH, conformément à la loi sur le marché intérieur (LMI)
La situation actuelle, avec l'augmentation des maladies Covid 19, exige un regard critique sur l'organisation de notre système de santé. Nous sommes confrontés à une maladie qui peut être grave (mais pas seulement), notamment chez les personnes vulnérables, c'est-à-dire chez les personnes déjà fragilisées, et qui nécessite alors un traitement intensif en milieu hospitalier. Ce groupe de population doit sans aucun doute être protégé. Focaliser les mesures préventives sur eux ne réduira pas le nombre absolu de cas, mais peut réduire la charge des établissements de soins hospitaliers et la létalité.
Les défis auxquels nous serons confrontés dans les années et décennies à venir en matière de soins de santé en Suisse sont de plus en plus perceptibles et visibles : un nombre croissant de personnes nécessitant des soins, une pénurie de personnel qualifié, des questions de financement non résolues. Afin de pouvoir continuer à garantir des soins de qualité à un prix abordable sur l'ensemble du territoire, certains modèles alternatifs sont déjà disponibles, d'autres sont encore en cours de développement et d'examen.